Dragon’s Dogma 2 – Apercu de Dragon’s Dogma 2 – Un second souffle ?


À l’occasion d’une présentation en France en parallèle du TGS, nous avons pu passer un peu plus d’une heure sur Dragon’s Dogma 2, version PlayStation.

C’est quoi Dragon’s Dogma ? 2 ?

Le jeu est un prolongement du premier, dont il garde les principales caractéristiques et qu’il améliore. Les fans du précédent titre sont en terrain connu. Mais étant donné que ce dernier est sorti il y a plus de 10 ans, petit descriptif de ce qu’est Dragon’s Dogma 2.

Le jeu est un action-rpg, en monde plus ou moins ouvert, qui se joue en solo, mais avec des compagnons.

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Ces derniers sont une particularité de la licence ; ils sont appelés des “Pions” (Pawn en anglais). Il y en a un principal, plus deux secondaires qui peuvent être remplacés par d’autres rencontrés sur le chemin ou récupérés via le online. Un Pion envoyé sur le net et récupéré conserve une certaine expérience des adversaires rencontrés et pourra sortir quelques tirades spécifique lors de votre première rencontre avec cet ennemi. Ils ont évidement chacun leur propres caractéristiques, équipement, classe (parmi 4) et compétences. Ils sont contrôlés par l’IA : il n’est pas possible de le prendre en main de manière directe, mais on peut leur donner quelques ordres de comportement durant les combats.

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L’histoire de ce second volet se situe dans un grand territoire composé du Royaume de Vermund (Humains) et de la nation de Battahl (Leonins). Vous êtes un insurgé ; alors qu’un Dragon vous a pris votre cœur, vous n’avez d’autre choix que de suivre le chemin qui se dessine jusqu’à terrasser la bête. L’exploration est assez libre. Il y a des chemins, des routes, mais il est possible de s’en éloigner pour traverser la forêt, découvrir des grottes ou explorer un canyon, par exemple.

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Le gameplay est assez classique de l’action-rpg. Il y a des coups forts, des rapides, il est possible de sauter, de faire une petite ruée, etc. Quatre classes sont disponibles au départ : Archer, Mage, Voleur, Guerrier. D’autres se débloquent au fil de l’aventure. Il est possible d’en changer à une guilde de classe. Chacune a évidement un style de combat propre (un Voleur privilégie les déplacements et les attaques rapides en combat alors qu’un Guerrier use de son bouclier pour cogner son adversaire) et il y a quelques variations au sein d’une même classe. Au delà des armes et des autres équipements spécifiques à la classe, il y a aussi une poignée de talents passifs et compétences utilisables. Pas de barre de mana ; on a ici une barre d’endurance qui est commune à diverses actions (utiliser une compétence, sprinter, etc).

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La session de jeu

La démo était divisée en trois parties de 15 minutes, avec une Archère de niveau 5 (apparemment peu après le début du jeu), un Guerrier de niveau 15 et un Voleur du même niveau.

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La partie avec l’Archère était assez limitée. Après le démarrage dans un petit village, il était question de suivre un sentier boisé dans une zone montagneuse en affrontant quelques ennemis de petite taille (des genres de Gobelins plus charnus) en chemin. Il y avait aussi quelques volatiles qui ont facilement été abattus par des flèches. L’arrivée dans des ruines enclencha un genre de flashback (jouable) qui dévoilait la rencontre entre le protagoniste et le fameux Dragon, le faisant devenir un Insurgé. Ce passage dans des ruines et ce qui s’ensuit et aussi l’occasion aussi de rencontrer Ulrika, un des personnages principaux dévoilés dans la communication du jeu.

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La seconde partie, en Guerrier, fut plus intéressante au niveau de la découverte du jeu. La zone de jeu explorable était beaucoup plus grande et libre d’accès. Il y avait plus de combats aussi, surtout les similis Gobelins, permettant d’essayer un peu plus les possibilités du système. Globalement, ça fonctionne : comme expliqué au dessus, c’est de toute façon assez classique pour le genre. Le personnage bouge bien, offre de bonne sensations. Les Pions ont un vrai rôle, efficace, en combats, que ce soit en attaque ou en soutien via des améliorations (comme enchanter l’épée en feu) ou des soins. Les ennemis étant de bas niveau, et peu variés, il était difficile de juger de leur comportement, mais ils semblent assez vifs et faire preuve d’un minimum de tactique. Cette fois, affronter les volatiles fut plus difficile qu’avec l’archère, étant donné le manque d’attaque à distance. Il y a néanmoins moyen de les frapper et les Pions qui attaquaient à distance furent utiles. Les déambulations dans les environs ont permis de découvrir une grotte, remplie d’ennemis. Ce fut l’occasion de tester une des fonctionnalités mises en avant dans la communication : pouvoir interagir avec l’environnement pour les batailles. Ici, couper les cordes d’un petit pont alors qu’un ennemi se trouvait dessus. Il a chuté en contrebas, pas vaincu, mais avec quelques dégâts, permettant aussi de se débarrasser de ses camarades avec un soucis en moins. Quelques coffres ont été obtenus en récompense de ces efforts.

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La dernière partie se faisait avec le Voleur. Dans la même portion de carte, il fut cette fois choisi de longer le littoral. Cela permit de découvrir d’autres types d’ennemis, des genre de reptiles bipèdes, pouvant user de magie. Des combats un peu plus difficiles à cause de la résistance et des puissantes attaques de ces adversaires à écailles. L’exploration d’une petite crique dans les rocheuses fut d’ailleurs l’occasion d’affronter un ennemi beaucoup puis puissant, un genre de grand Troll, apparemment un Boss. Le combat fut difficile, avouons-le. Il avait beaucoup de vie et des attaques puissantes. Le fait de jouer Voleur faisait qu’il était compliqué de rester à proximité pour le frapper. Heureusement, la présence d’une Guerrière dans le groupe de Pion permettait de détourner son attention pour lui asséner quelques attaques rapides. La pose de piège explosif (une capacité) a aussi beaucoup aidé pour le déstabiliser quelques secondes à plusieurs reprises. Après le combat, du loot, un Pion recrutable et direction le village côtier des environs. Non loin de là, une autre grotte sur la côte rocheuse, avec des soldats à secourir. Encore des reptiles, une autre Pion un peu plus puissant que ceux possédés, du loot, des récompenses pour la quête ; du classique. Soulignons le fait qu’il y a tout de même pas mal de pnj ici et là, que ce soit sur le chemin ou en dehors, pour des quêtes ou juste comme ça : cela donne un peu plus de sentiment de vie au monde du jeu. Retour au village à la nuit tombée. Durant cette dernière, les sorties sont plus compliquées : on voit moins, il y a des ennemis puis puissants, etc.

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Avis en sortant de cette présentation

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N’ayant pas eu l’occasion de jouer au premier, mais le connaissant tout de même un peu, ce fut une grosse découverte. C’est un action-rpg en monde relativement ouvert, qui incite à l’exploration. Il propose un monde qui semble assez grand au vu de la carte affichée et surement plus encore avec ses grottes, ses donjons, etc. Le système de Pion fonctionne bien et permet pas mal de variété dans la composition du groupe. La formule se semble pas avoir beaucoup évolué depuis le précédent jeu, mais elle s’améliore. Les fans du premier seront normalement conquis et il y a de quoi en attirer de nouveaux.

Aperçu réalisé par Zekkangel dans le cadre d’un événement presse.



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