Les milliardaires ont souvent un talent pour anticiper les tendances, et cette fois encore, ils ne se sont pas trompés. Déjà en février 2018, bien avant que le Covid-19 pointe le bout de son nez, The Guardian s’intéressait à un phénomène singulier : des milliardaires de la Silicon Valley se préparaient à l’apocalypse en achetant des terres en Nouvelle-Zélande. Leur intuition était juste, puisque désormais, le quotidien londonien relaye les résultats d’une étude menée par l’université Anglia Ruskin de Cambridge, qui confirme : “la Nouvelle-Zélande est le meilleur pays au monde pour survivre à un effondrement global de la civilisation”. Une perspective prise très au sérieux par les scientifiques britanniques.
“Un effondrement global pourrait être causé par divers chocs, tels une grave crise financière, les impacts de la crise climatique, la destruction de la nature, une pandémie plus grave que celle du Covid-19, voir une combinaison de plusieurs de ses facteurs”, explique le journal progressiste, qui relaye les hypothèses des signataires de l’étude, parmi lesquels figure Aled Jones, directeur de l’Institut du développement durable de l’université Anglia Ruskin.
L’homme s’est
[…]